Edito
mars 2020
Les époux Balkany ont déclaré qu'ils n'iraient pas en cassation sur le premier procès en fraude fiscale. Ils ne contesteront plus les décisions des tribunaux qui ne les ont jamais vus comparaitre ensemble (raison de santé pour l'une, incarcération pour l'autre) ni en première instance, ni en appel où leurs esquives des questions gênantes n'ont fait que renforcer la conviction des juges. Ils ont été lourdement et définitivement condamnés. Ils ont eu beau affirmer que cela ne concernait pas de l'argent public, la fraude fiscale est bien une façon de soustraire à l'état, de l'argent public. Le fraudeur fiscal vole des médicaments aux hôpitaux, des livres dans les écoles, des moyens aux forces de l'ordre et à la justice ...
Par ailleurs ils n'ont pas apporté la moindre preuve de de l'origine de toutes les liquidités qui coulaient à flot au cours de leurs mandats...
Dès le prononcé du jugement, nous sommes intervenus auprès du Préfet pour que tous les liens avec la gestion de la ville et les services soient coupés.
En attendant ils continuent de manœuvrer plus ou moins en sous main pour leurs anciens co-listiers. Nous avons été contraints d'adresser une second courrier à la préfecture.
RV le 22 avril pour l'arrêt du jugement en appel pour prise illégale d'intérêt et blanchiment ...
